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Les actus IA en bref

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Alibaba lance le nouveaux LLM Qwen dans le cadre de la dernière percée de l’IA open-source en Chine

Selon Alibaba, Qwen3 promet des améliorations en matière de raisonnement, de suivi des instructions, d’utilisation d’outils et de tâches multilingues, rivalisant avec d’autres modèles de premier plan dans plusieurs benchmarks industriels.
Qwen3 comprend les premiers « modèles de raisonnement hybrides » d’Alibaba, qui, selon l’entreprise, combinent les capacités traditionnelles des grands modèles de langage avec un « raisonnement avancé et dynamique ».
Les analystes de l’intelligence artificielle estiment que Qwen3 représente un sérieux défi pour les homologues d’Alibaba en Chine, ainsi que pour les leaders de l’industrie aux États-Unis.

Un petit géant : Pleias, une startup française

La startup française Pleias, réputée pour entraîner ses modèles exclusivement sur des données éthiques, vient de lancer deux nouveaux modèles de langage conçus pour analyser les données des entreprises. Malgré leur petite taille, ces modèles surpassent déjà des concurrents bien plus imposants, notamment le Llama 3.1-8B de Meta.
Les modèles Pleias-RAG-350M et Pleias-RAG-1B se distinguent par leur capacité à effectuer des raisonnements complexes tout en fournissant des citations précises, une caractéristique rare pour des modèles de cette envergure. Optimisés pour les tâches de récupération augmentée par génération (RAG), ils excellent dans des benchmarks multilingues tels que HotPotQA et 2WikiMultiHopQA, démontrant une performance constante même dans des environnements aux ressources limitées.
En outre, ces modèles sont conçus pour être déployés efficacement sur des infrastructures restreintes, offrant ainsi une solution accessible aux entreprises cherchant à intégrer l’IA dans leurs processus sans nécessiter de ressources matérielles conséquentes.

AI-ction! Les Oscars sont désormais ouverts aux films assistés par l’IA

Dans une décision historique, l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences ouvre la voie aux films assistés par l’IA pour concourir aux Oscars. Si la technologie de l’IA dans ces films n’affectera pas leurs chances de gagner, la contribution humaine reste essentielle. Cette évolution a suscité des débats sur la sécurité de l’emploi, l’intégrité créative et le rôle de l’IA dans le processus de réalisation des films.

Vers une automatisation massive du travail ?

Les agents IA deviennent si performants qu’ils pourraient bientôt avoir un impact réel sur le monde du travail. Anthropic estime que cela pourrait arriver d’ici un an. L’entreprise développe notamment des mécanismes de sécurité pour se prémunir contre des « agents rebelles » capables, par exemple, de modifier du code à l’insu des développeurs ou de divulguer des données personnelles. A ce stade, la plupart des agents sont présentés comme des assistants conçus pour faciliter votre travail, pas pour vous remplacer.
Mais une nouvelle génération de startups adopte une approche radicalement différente. Kortix AI affiche clairement son objectif : « remplacer 70 % de la main-d’œuvre humaine par de l’IA ». De son côté, le chercheur T. Besiroglu vient de lancer Mechanize, une startup dont l’ambition n’est rien de moins que « l’automatisation complète de l’économie ». Une chose est sûre : la course aux agents autonomes n’est plus de la science-fiction -elle a déjà commencé.

Character AI dévoile son propre modèle vidéo

Character AI dévoile son propre modèle vidéo : la plateforme de chatbots s’apprête à transformer les avatars statiques générés par l’IA en vidéos dynamiques (voir quelques exemples ici). Baptisé AvatarFX, ce nouvel outil est capable d’animer toutes sortes de créations : des humains ultra-réalistes aux créatures mythiques, en passant même par des objets inanimés dotés de visages. C’est une évolution naturelle pour cette startup, proche de Google, qui connaît déjà l’un des plus forts taux d’engagement du secteur de l’IA. Les abonnés auront un accès prioritaire, mais il est d’ores et déjà possible de s’inscrire sur liste d’attente.

ChatGPT et Ghibli : La Magie Interrompue

OpenAI a suspendu l’accès gratuit à GPT-4o après une explosion de créations d’images dans le style de Studio Ghibli sur les réseaux sociaux. En une journée, des milliers d’images ont transformé des familles en personnages de Princesse Mononoké et des scènes de films en versions Totoro. Cette vague inattendue a poussé OpenAI à interrompre la fonctionnalité pour les comptes gratuits, soulevant des questions juridiques et éthiques sur la propriété des styles artistiques.
Sam Altman, PDG d’OpenAI, a participé à cette tendance en changeant brièvement sa photo de profil pour une version Ghibli de lui-même. Cependant, l’amusement a été de courte durée, et Altman a annoncé la mise en pause de la fonctionnalité. Cette décision met en lumière les défis de la technologie : où s’arrête la créativité et où commence la contrefaçon ?
GPT-4o impressionne par sa capacité à générer des images fluides et réalistes, mais OpenAI a choisi la prudence face aux risques juridiques. Les abonnés payants peuvent toujours utiliser GPT-4o pour générer des images dans le style de Ghibli, soulignant les limites du jeu et la responsabilité créative dans l’ère de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle pourrait remplacer une grande partie des développeurs

Le fondateur de Zoho, Sridhar Vembu, estime que l’intelligence artificielle prendra en charge jusqu’à 90 % du travail des programmeurs, en automatisant les tâches répétitives et le code « boilerplate » (tâches répétives). Il souligne toutefois que la résolution des problèmes complexes nécessitera toujours une intervention humaine. Sam Altman, PDG d’OpenAI, partage cette vision et affirme que dans de nombreuses entreprises, plus de la moitié du code est déjà générée par l’IA. Il prévoit qu’à terme, le rôle des développeurs pourrait être fortement réduit, même si, dans un premier temps, chaque ingénieur sera simplement plus productif.

Meta AI arrive enfin en France (et en Europe)

Meta lance son assistant IA, Meta AI, dans 41 pays européens, dont la France, à partir du 20 mars. Disponible gratuitement sur Instagram, Facebook, Messenger et WhatsApp, cet assistant fonctionne comme un agent conversationnel, permettant de planifier des voyages, obtenir des réponses précises et approfondir des sujets d’actualité.
Pour accéder à Meta AI, les utilisateurs doivent cliquer sur une icône en forme de cercle bleu ou taper « @MetaAI » dans les discussions de groupe sur WhatsApp. Contrairement à la version américaine, les utilisateurs européens ne peuvent pas générer ou modifier des images.
Le déploiement en Europe a été retardé en raison de la complexité des régulations européennes, notamment le RGPD. Meta a dû adapter son interface pour se conformer à ces exigences, offrant une version centrée sur la génération de texte, disponible en six langues. Mark Zuckerberg, PDG de Meta, prévoit que Meta AI atteindra le milliard d’utilisateurs cette année, renforçant ainsi la position de l’entreprise dans le domaine de l’IA.

OpenAI lance les connecteurs ChatGPT pour Google Drive et Slack

OpenAI va bientôt tester une fonctionnalité permettant aux entreprises de connecter Google Drive et Slack à ChatGPT. Ces « ChatGPT Connectors » permettront aux utilisateurs de ChatGPT Team d’accéder à des informations internes pour répondre aux questions, en utilisant des fichiers, présentations, feuilles de calcul et conversations Slack. OpenAI prévoit d’étendre cette fonctionnalité à d’autres plateformes comme Microsoft SharePoint et Box. Les permissions de Slack et Google Drive seront respectées, et les administrateurs pourront choisir quels fichiers et canaux synchroniser. Cependant, certaines limitations techniques existent, comme l’absence de support pour les images dans les fichiers Google Drive.

Le modèle Gemini de Google suscite la controverse

Contrairement à certains modèles d’IA, Gemini 2.0 Flash de Google ne bloque pas la suppression des filigranes et peut même reconstituer les détails manquants des images. Bien que marqué comme « expérimental », cet outil est accessible sur les plateformes de développement, suscitant des préoccupations quant à une utilisation abusive potentielle. Les utilisateurs des réseaux sociaux ont découvert que Gemini peut supprimer les filigranes des images, y compris celles de sociétés de médias comme Getty Images. Cette fonctionnalité est particulièrement préoccupante car elle remplit les parties manquantes, rendant les modifications difficiles à détecter. D’autres modèles d’IA refusent de supprimer les filigranes, citant des raisons éthiques et légales.

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